Rosalie était en plein en chasse. Elle poursuivit un cerf pendant quelques mètres puis put enfin plongé ses crocs dans sa chair. Le repas fut vite fini et Rosalie ne sembla pas pleinement satisfaite. Il n'y avait pas eu assez "d'action" à son goût. Elle décida donc de poursuivre sa chasse. Son ventre était presque plein mais son ennui dominait tout de même. Elle arêta de courir un instant et s'asseyait su un tronc d'arme. Elle passa la main dans ses cheveux et soupira. Non, ce n'était pas l'ennui qui la contrôlait mais plutôt la peur et la colère. Ces derniers mois avaient été riche en émotions et des plus mauvaises. Des humaines étaient rentrés dans leurs vies, et commençaient petit à petit de s'approcher de leur secret, Veronica, sa "soeur" ou tout comme, était parti à Volterra à cause de l'une d'entre elle, et Emmett semblait lui échapper à cause de l'autre humaine qui était tombé amoureuse de lui. A cette pensée, Rosalie se leva et souleva le tronc d'arbre pour le fraccasser au sol. Elle aurait voulu aller retrouver cette humaine pour lui arracher la tête. Comment osait elle avoir des vues sur Emmett ? Sur son Emmett ?! Elle décida de se calmer un petit peu et de rentre chez elle. C'était surement la meilleur chose à faire en ce moment.

Elle courut jusqu'au seuil de sa porte et hésita d'abord à rentrer. Elle ne voulait coiser personne, pas aujourd'hui. Elle se concentra et essaya de "filtrer" les odeurs. Elle n'en décela qu'une, celle de Edward. Ah Edward.. elle lui en voulait aussi. Sa rancoeur était grande puisque c'était à cause de lui si Véronica était parti. Normalement, il se devait d'être son compagnon, mais la jeune humaine Bella, bouleversa tout. Il s'éprit d'elle et Véronica se retourva seule. Rosalie se souvennait encore de la peine qu'avait ressenti sa soeur. Elle le détestait pour cela. Une parti de toute cette affaire, était de sa faute. Elle se décida tout de même à entrer. Elle trouva le jeune homme assis dans un des fauteuilles bouquin en main. Elle fit de même et alla s'assoir en face de lui. Elle le toisa du regard pendant quelques instants et se décida à parler.

- Edward... Je pense que nous devrions discuter de certaine de tes.. erreurs ou doutes,enfin appelle ça comme tu veux. Cela va bientôt faire 3 mois. 3 mois où pas mal de chose ont changé dont le départ de Véronica.

Les choses à Forks ses derniers temps, avaient boulversés la vie des Cullen, et encore plus la mienne. J'étais censé être l'homme de la vie de Veronica, mais les choses s'étaient passés autrement, j'étais tombé amoureux, d'un amour si puissant que j'aurai pu tuer pour elle, d'Isabella. J'étais tombé amoureux d'Isabella Swan dès le premier regard que j'avais croisé, l'amour que je lui portais avait alors tout boulversé dans ma vie. Le jour même, j'avais décidé de quitter celle qu'on m'avait donné pour femme. Les choses s'étaient très mal passés, seuls Rosalie et Veronica l'avait mal pris, les autres comprennant que l'amour pouvait tout submergés. Depuis que je m'étais épris d'Isabella, Rosalie ne voulait plus me parler, pire même elle se rangeait du coté de Veronica. Veronica avait pour but de tuer Bella, et cela me fesait le plus peur. Depuis avec Isabella, nous étions partis à Las Vegas, pour nous marrier, les Cullen's ne le savaient pas, j'avais préféré que Veronica ne soit pas au courant de cela. Depuis Bella était enceinte de moi, cela ne fesait que quelque jours et pourtant j'étais heureux, on nous offrait le plus beau cadeau du monde. Bella venait de passer la journée chez les Cullens, elle venait de partir, me laissant seul dans ma chambre. J'avais mis de la musique, que je passais télécommande à la main. Puis il s'était mis à lire jusqu'au moment ou, Rosalie entra dans sa chambre. Je lui répondit alors.

Oui je pense Rosalie, et je sais que tu m'en veux d'être la cause du départ de Veronica, mais j'aimerait que pour une fois tu te mette aussi à ma place. Tu sais ce que c'est d'être amoureuse, et d'avoir un sentiment d'amour puissant pour la personne que tu aime? Et bien je vais t'expliquer ce qui a pu se passer dans ma tête lorsque j'ai rencontré Bella. Comme tu le sais, Veronica est arrivée quelques temps après toi, présentée, comme tu la été à une certaine époque, comme ma compagne. Bien sur j'ai eu des sentiments pour elle, mais je n'étais pas pleinement heureux, et tu le sais aussi bien que moi, tu l'as autant remarqué que moi. Le jour ou j'ai rencontré Bella, j'ai eu comme une décharge électrique et je me suis vu avec Veronica, trouvant que j'étais plus avec elle par obligation que par amour... Et l'amour que j'ai ressenti pour Bella était bien plus puissant... Rappelle toi l'amour que tu as eu pour Emmett à l'instant ou tu la croiser, tu vois ou pas? Et bien imagine le beaucoup plus puissant, aussi puissant que je puisse contrôler le fait que son sang batte dans ses veines, et le fait que je puisse vouloir la mordre pour presque revenir humain... Je n'ai jamais été aussi heureux depuis que je lui avec elle...

Edward lui répondit alors. Rosalie resta concentré sur ses paroles. Elle savait que la plupart des choses étaient vraies mais elle ne pouvait s'empêcher d'avoir un pincement au cœur. La douleur de sa chère sœur, lui avait brisé le cœur, enfin si on pouvait s'exprimer ainsi. Au fil des paroles que prononçait Edward, Rosalie remit un peu en question son jugement. Lui aussi avait le droit au bonheur, c'était tout à faire normal qu'il veuille être avec la personne qui l'aime mais.. Voilà ce qui n'allait pas, il y avait toujours un "mais". Malgré que certaines choses s'arrangeaient un "mais" venait briser un rêve pour laisser place au cauchemar. Certes Edward était plus heureux mais Véronica en fut très malheureuse. Elle le regarda fixement tout en réfléchissant à sa réponse. Elle savait qu'il pouvait lire dans ses pensées mais elle ne s'en souciait pas. Quelques fois, elle laissait glisser un : Sort de ma tête ! ou encore, Tu vas me laisser réfléchir seule ?!. Juste par précaution au cas où Edward se faisait curieux. Elle soupira fortement et repris la parole

- Edward.. je te comprends. Je sais que l'amour peut tout dominer et tout balayer dans son passage. j'en suis consciente mais tout de même. Ma sœur est parti à cause de toi, et je ne pense pas que j'arriverai à te pardonner complètement pour ça. Elle me manque tellement. De plus, je ne sais trop bien ce qu'elle ressens. Je ne veux pas que la même chose qui vous arrivait arrive aussi à Emmett et moi car la situation se ressemble. Cette humaine, Tiffany, veut s'éprendre de mon Emmett, de mon mari. Je l'aime plus que tout te monde et sache que moi je n'aurais pas le contrôle de Véronica. Tu peux la remercier pour ça. Si cette humaine arrive à ses fins - comme pour Bella - je pense que je la tuerai. Ma colère est déjà grande alors je ne pense pas que j'arriverai à me contrôler et Veronica la fait. Sois reconnaissante envers elle au moins pour ça.

Aujourd'hui j'avais envie de faire abstraction de mon don, et pour une fois avoir une discussion à coeur ouvert, et cela je le ferai donc sans lire dans les pensées de ma chère soeur. Je savais qu'elle souffrait de la façon dont Veronica était parti par ma faute, je m'en voulais aussi finalement, parce qu'elle fesait surtout parti de la famille, mais je ne pouvais accepter que Veronica tourne aussi facilement le dos à sa nature de végétarienne et retourne dans les jupes des Volturis. Je regardais alors Rosalie, comprennant tout à fait la peur qu'elle pouvait avoir face à Tiffany et l'amour qu'elle pouvait porter à Emmett. Je me releva légèrement avant de poser définivement mon livre. Je voulais lui prouver que pour moi la situation qu'il y avait entre elle et moi n'était plus possible, j'avais besoin d'elle, j'avais besoin de ma soeur, je savais qu'elle me comprendrait surement.

Rosalie, je comprends que tu m'en veux plus que tout au monde, je conçois que tu m'en veuille tu fait qu'elle soit parti. Mais je veux, et j'ai besoin de ma soeur. Je n'en peux plus de cette situation entre nous deux, ou on se regarde en chien de faillance...

Ma voix commençait à défaillir, cette relation ne pouvait plus durer entre elle et moi, et avec la situation qu'il y avait maintenant, j'avais besoin de Rosalie, elle seule pourrait nous aider, elle seule nous comprendrait.

Ecoute, j'ai besoin de toi, j'ai besoin de ma soeur, car elle seule comprendrait et elle seule nous aiderait sans nous traiter de fou... Je me suis marié avec Bella, et elle est enceinte... Nous aurions besoin de toi Rosalie... Et tu me manque, ma petite soeur me manque...

Rosalie se sentit soudainement soulagé. Pouvoir exprimer ses sentiments, enfin, lui faisait le plus grand bien et de plus à Edward. Elle aimait parler à son "frère" autre fois. Il savait être une oreille attentive et elle en avait besoin de plus qu'autre chose. Elle ne regretta pas d'avoir voulu discuter avec lui. Ceci lui faisait le plus grand bien et les choses semblaient s'arranger entre eux. malgré quelques réticences de Rosalie dans son esprit, elle savait que la situation entre eux ne pouvait plus durer. C'est d'ailleurs ce qu'Edward était en train de lui dire. Elle était totalement d'accord avec cela. Elle voulait retrouver une relation saine et stable, comme auparavant. Avant, que tous ses ennuies parviennent à leur maison.

- Je sais Edward. Tu as raison, je te considère comme mon frère et je ne veut pas non plus de cette relation.

Edward continua à parler lui expliquant que lui et Bella s'était marier, que la jeune femme était enceinte et qu'ils avaient besoin de son aide. Rosalie resta bouche bée devant la révélation de son frère. C'était surement la réponse dont elle attendait le moins la venue. Les yeux écarquillés, elle regardait Edward. Elle se leva de son fauteuil et commença à marcher un peu.

- Attend, attend.. tu es en train de me dire que Bella & toi vous êtes marié, que tu as pris le risque de couché avec elle sans penser une seconde que tes crocs se plantent dans sa chair et que maintenant elle est enceinte ?!

Rosalie avait annoncé sa phrase comme pour résumé la situation à elle même. A vrai dire, elle ne savait pas trop comment réagir. Elle se posta devant Edward. Elle voulut tout d'abord ce mettre en colère puis refusa cette possibilité. Son visage était en train de passer à toute les émotions possibles et imaginables sans pour autant qu'un mot fut prononcé. Il restait coincé dans sa gorge. Elle se décida de se calmer. Elle prit les mains d'Edward et le releva pour qu'il se retrouve en face d'elle et debout.

- Pour être franche, je m'y attendais pas du tout à ça ! J'ai tout d'abord voulut t'engueuler, après tout j'aurai de quoi ! Tu as fait tout ça derrière notre dos ?! Bon peut importe.. Mais quand même espèce d'inconscient !

Elle soupira un bon coup et secoua sa tête. Ne le laissant pas répondre, elle enchaina.

- Je suis heureuse que tu me l'ai dit et sache, que je ferais de mon mieux. C'est vrai que je n'ai pas toujours été tendre avec Belle mais je vais essayer de m'améliorer. Je suis vraiment heureuse que tu puisse avoir des enfants, tu sais à quel point j'en.. Enfin bref, je t'aiderai et te soutiendrai ainsi que Bella. je t'en fait la promesse.

Elle hésita à le prendre dans ses bras, mais abandonna cette idée. les preuves d'affection de la sorte n'était pas son point fort et Edward le savait très bien.

J'étais à mon tour soulagé que quelqu'un soit enfin au courant de ce qui se passait dans sa vie. Il ne l'avait pas vraiment fait dans le dos des Cullens, il voulait juste faire les choses à sa manière, sans pour une fois peser le pour et le contre, je savais que j'avais fait preuve d'une inconscience pure et simple, mais après tout, j'avais agit comme si j'avais une ame, une conscience, notre première nuit avec Bella s'était très bien passé, je m'étais controler, et nous nous étions rendus compte, que finalement si je fesais les choses avec amour tout se passait pour le mieux, mon "âme" passant avant ma condition de vampire. Je regarda alors Rosalie, avant de me défendre.

Oui on s'est marrié il y a une semaine, on est parti à Las Vegas. Je sais que tu peux penser que c'était précipité, mais je suis amoureux d'elle et elle passait avant tout. Je lui ai fait ma demande en mariage, et elle a accepté presque aussi rapidement que je lui ai demandé. Le soir même on a pris un avion, on s'est marié le soir même, puis après on est monté dans la chambre et puis voila une chose en entrainant une autre. Je n'ai jamais ressentit ça Rosalie, j'en avais même oublié ma soif, Bella passait avant tout, je ne saurais expliquer comment j'ai fait, mais je n'ai jamais pensé à la mordre pendant qu'on... Bah voila pendant l'acte... Et puis le lendemain Bella a été malade toute la journée, et depuis elle a commencé à prendre du poid, son ventre à grossir... J'suis un inconscient j'en suis sérieusement conscient, c'est pour ça que je voulais t'en parler. Je suis heureux de savoir que j'ai eu raison de te faire confiance, merci Rosalie, je pense que sans toi, je serai perdu.

Un sourire s'accrocha aux lèvres de Rosalie. Elle était réellement heureuse pour Edward. Il était heureux et c'est ce qui apportait. Elle savait qu'elle allait devoir faire des efforts avec Bella, mais au fond elle ne l'a détestait pas. Elle savait que Bella était un être sympathique et précieux, en tout cas aux yeux d'Edward. Elle le devait à son frère et de plus, Rosalie savait que Bella aurait besoin de son aide. Malgré qu'elle est été en partie la cause du départ de sa chère sœur, Rosalie devait passer outre et l'aider. Une grossesse, c'était ce que désirait Rosalie le plus au monde, malheureusement cela lui était impossible. Alors, elle était ravie qu'Edward lui, puisse accomplir cela. De plus, Rosalie était heureuse que des enfants s'introduisent dans la famille, elle pourrait les couvrir de cadeau et s'occuper d'eux lorsque les parents seront trop occupés. Elle se ravissait de cela. C'était surement la grossesse qu'il l'avait poussé à rester calme avec Edward. Elle reprit conscience et regarda Edward pour lui répondre.

- Je n'avais pas imaginé à quel point tu aimes Bella et j'en suis désolé. Profite bien de ce moment car je ne sais pas si je serais toujours aussi tendre, rigola t elle, je suis vraiment heureux pour toi. De voir que ta vie s'illumine un peu plus chaque jour. Tu peux compter sur moi. Je t'aiderai quoi qu'il arrive et j'aiderai aussi Bella pour sa grossesse, bien sûr. Tu es fort Edward, et je ne pense pas que sans moi tu serais perdu, mais ce qui est sure c'est que la question n'aura pas à se poser. Je te soutiendrais à partir de maintenant.

Elle posa les deux mains sur les deux extrémités du visage d'Edward. Elle lui souriait puis le lâchait. C'était surement la plus grande affection qu'elle arrivait à faire. Elle s'asseyait sur le fauteuil s'étalant presque. Elle soupira un bon coup et recommença à parler.

- j'y crois pas que tu vas devenir père ! rigola t-elle

Moi père? J'avoue quand même que j'ai encore du mal à y croire, après tout, je n'était pas le modèle de vertue, je recommençait à chaque fois un morceau de ma vie qui était l'adolescence, mais maintenant, j'avais l'impression que tout pouvait changer puisque j'allais être papa et que cette expérience allait encore plus me rapprocher de Bella, et cela me fesait de plus en plus sourire. Savoir que Rosalie allait être de notre côté je me sentais comme soulagé, elle était une des personnes les plus proches de nous et dieu savait qu'elle serait la pour ce futur enfant. Cet enfant serait mi-homme et mi-vampire, je ne savait pas ce que nous allions faire, mais ce bébé naitra quoi qu'il arrive, et Bella survivra, quoi qu'il arrivait si jamais il y avait quelque chose qui tournait mal, je l'aurai mordu pour qu'elle survive. Je regarda alors Rosalie.

Je te suis complétement reconnaissant de ce que tu vas faire pour nous et Bella le sera tout autant. Et surtout je suis heureux que tu sois la pour moi. Je sais que tu saura faire les efforts pour Bella, et je t'en remercit à mon tour...

Rosalie divague légèrement dans ses pensées. Elle réfléchissait à cette situation. Elle imaginait Edward complètement paniquer alors que Bella aurait des contractions. Cela la faisait bien rire. Le voyant enchainant gourde sur gourde, pour une fois la pauvre Bella ne serait pas la plus maladroite ! Une fois de plus, Rosalie se releva et pris la main d'Edward et recommença à parler.

- Cesse de me remercier. Cela sert à ça la famille, non ?

Elle lui souriait une fois de plus. Rosalie se voyait déjà trop bien prodiguant des conseils à Bella tout en sermonnant Edward. Certes, Rosalie était aussi emballer que les parents ! Mais que voulez vous. Rose adorait les enfants et voulait réellement aider au mieux son frère. Il aurait surement besoin de quelqu'un sur qui conter et Rosalie voulait être cette personne. Il l'avait tant donnait les années auparavant sans s'en rendre compte, surement. mais elle lui en était reconnaissante. Maintenant c'était à elle de s'occuper de lui et de sa femme. C'était une des rare fois, où Rosalie était enchanté d'aider les autres. Car malgré bon nombre de ses qualités, Rosie restait tout de même égoïste préférant se privilégier à la place des autres. mais là tout était différent et de plus, il s'agissait de sa famille. Soudain, Rosalie repensa aux autres membres de la famille. Comment Edward allait ils leur annoncer ?

- Edward.. As tu pensé comment tu allais avoué à notre famille tout ses évènements ?

Comment l'annoncer aux Cullens? Je ne sais pas après tout, mais je pense surtout déja qu'Alice sera ravie, même si elle m'en voudrait surement que je ne l'ai pas attendu pour le mariage, pour de ce qui est d'Esmée et les autres ils seront ravis, même si l'idée du bébé pourrait surement leurs faire peur.... Mais je pense sincérement que tout ira bien, tout le monde apprécie Bella, enfin sauf toi à la base... Je ne sais pas comment expliquer les choses...

Je baissait alors comme un débile la tête je ne savais pas comment expliquer les choses, mais je savais que Rosalie n'aimait pas forcément Bella, surtout parce qu'elle était la cause du départ de Véronica.

Je suis désolé en tout cas Rosalie, je suis désolé....

Je baissa alors à nouveau la tête tandis que je m'allongea sur le siège à nouveau en fermant les yeux, je me demandais ce que fesait Bella à ce moment précis.

Elle l'écouta attentivement analysant presque ses moindres mots ne laissant par ailleurs, la moindre information lui échappait. Cette conversation était très importante, et Rosalie ne voulait pas manquer quelque chose à cause d'une rêvasseri. Elle rigola lorsqu'Edward fit allusion à Alice. Ce petit lutin allait réagir, ça s'était sur ! Elle allait surement lui en vouloir de na pas avoir célébrer le mariage avec eux, mais sera surement très heureuse pour Ed & Bella. Rosalie n'osait imaginé ce qu'elle allait faire subir aux deux jeune parents. Des fêtes en tout genre encore et encore. Elle souriait brièvement en pensant à cela. Alice était vraiment folle.. bref. Quand il aborda la question du bébé, elle hocha la tête. Les cullens seront surement.. surpris. Rosalie était sur que sa famille ne s'y attendrait pas le moins du monde. Elle-même n'avait pas été préparé à cela. Quand il recommença à s'excuser, elle se leva et s'assit à côté de lui.

- Cesse de t'excuser ! décréta t-elle

Sans doute, il se sentait coupable de la peine qu'avait provoqué le départ de Veronica chez Rosalie. Mais tout cela était du passé. Bien sur, sa sœur lui manquait énormément mais Rose savait qu'elle ne pouvait pas en vouloir à Edward éternellement.

- Tout ça est du passé Edward. On ne va pas sans cesse s'excuser ou encore s'engueuler pour ça ? Véronica me manque, c'est sûr.. mais arrêtons de revenir sur ce sujet.

J'étais maintenant perdu dans mes pensées. Je me souviendrai pour l'éternité de chaque seconde passée à Las Vegas. Il y avait eu tout d'abord l'arrivée, et surtout le moment ou je vis Bella sortir avec sa magnifique robe blanche. Il y avait eu aussi le moment fatidique ou nous avions prononcé les trois mots important "je le veux", et puis surtout il y avait eu cette magnifique première nuit d'amour, où mes instincts de Vampire était passé bien après mes instincts d'homme. Nous avions simplement fait l'amour comme un couple normal. Le retour à la normal c'était fait en douceur, même si dorénavant je passais encore plus de temps avec elle qu'avant, puisqu'elle était ma femme et surtout la mère de mon enfant. Rosalie était la meilleure soeur qui soit, elle venait de me prouver l'amour fraternel qu'elle portait pour moi, et cela n'avait pas de prix pour moi. Je lui fit un sourire tandis que je lui répondais avec un sourire.

Ok arrêtons alors!